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23. September 2007

Bravos für Hartmut Haenchens Dirigat von R. Strauss' "Capriccio" an der Opéra National de Paris - Garnier

Zur Pariser Saisoneröffnung wurde die Produktion von Robert Carsen erfolgreich wieder aufgeführt.

Hervorragende Medienreaktionen:

La Croix, 17.9.2007

“Dans un fascinant décor, qui rend visuellement hommage au passé comme Strauss le fait dans la partition, le jeu des chanteurs, fluide, est porté par la direction brillante et précise du chef allemand Hartmut Haenchen, qui laisse respirer ses interprètes, palpiter leurs émotions et briller leur ironie.

http://blog.parisbroadway.com, 23.9.2007

Je crois bien que Capriccio est, parmi les opéras du 20ème siècle, celui qui me transporte le plus. Cette partition est un sublime émerveillement d’un bout à l’autre, surtout quand elle est confiée au merveilleux Harmut Haenchen, qui m’avait déjà enthousiasmé dans la même œuvre à Amsterdam il y a un peu plus d’un an. La musique n’est qu’une succession de vagues voluptueuses qui prennent littéralement aux tripes.....
Les ensembles sont magnifiques : le trio du sonnet, l’octuor, l’air des huit valets… Tous sont conduits avec un panache irrésistible par Harmut Haenchen. Quelle musique somptueuse !

www.altamusica.com, 10.9.2007

Le point le plus fort de cette reprise est sans conteste la direction de Hartmut Haenchen. Tout comme au pupitre de Salomé, il trouve les accents, les inflexions, les contrastes les plus significatifs de cette partition si belle et si complexe, qui frôle souvent la musique de chambre et tisse une toile musicale d’une subtilité déconcertante, et dont seuls les plus grands chefs savent rendre à la fois la sensualité, les multiples reflets et l’efficacité théâtrale. L’Orchestre de l’Opéra était dans l’un de ses grands soirs.
Gérard MANNONI

Le Figaro, 11.09.2007

„L’orchestre dirigé par Hartmut Haenchen, dans la nouvelle fosse de Garnier rénovée pour en augmenter sa capacité, a montré beaucoup de souplesse dans l’exécution des raffinements d’une musique magnifique dans sa simplicité mélodique et sa complexité harmonique.
J.L.Valldire

www.concertonet.com, 9.9.2007

En tout cas, une fosse qui débute la saison au plus haut niveau, avec un orchestre soyeux et réactif à souhait, conduit avec souplesse par Hartmut Haenchen (qui dirigera également Parsifal au printemps prochain), parvenant à assurer un bel équilibre dans les ensembles.
Simon Corley

www.anaclase.com, 8.9.2007

Hartmut Haenchen soigne la couleur et le lyrisme relativement contenu
de l'Orchestre de l'Opéra national de Paris. Toujours minutieusement respectés, les équilibres passent presque inaperçus.

Bertrand Bolognesi

http://operachroniques.over-blog.com23.9.2007

Dans la fosse, Hartmut Haenchen assurerait à lui seul l’intérêt musical de cette reprise. Sa lecture respire la finesse et la clarté, déployant l’orchestration straussienne avec une réelle fluidité et une admirable légèreté de touche. La richesse musicale et littéraire de l’œuvre fait le reste et fascine toujours autant malgré les limitations de la production et du plateau.

www.concertclassic.com, 12.9.2007

„Pourtant Hartmut Haenchen retrouvait le bon tempo et les coleurs exactes lors de la scéne finale, porté par la pure magie d’und vrai moment de théatre qui nous a encore fait retenir notre souffle.“
Jean-Charles Hoffelé

Paris Update, 20.9.2007

„Musically, the endless variety of Strauss’s score (ranging from a sestet playing on the Stage at the beginning to the full force of the Orchestra) is well sustained by the Orchestre de l’Opéra National de Paris under the direction of Hartmut Haenchen“
Nick Hammond

www.forumopera.com, 14.9.2007

Hartmut Haenchen, dans la fosse, s’en donne à cœur joie, débordant plus d’une fois les nuances dynamiques que Strauss jugeait indispensables à la bonne compréhension de ses chanteurs/diseurs, mais quelle vie, et quelles couleurs ! Lui, en tout cas, semble avoir moins de doutes que la Comtesse : c’est la musique qu’il a choisi de mettre au premier plan. Nous ne nous en plaindrons pas.
David FOURNIER

AFP, 9.9.2007
...où la formation maison s'est montrée à la hauteur d'une partition raffinée, sous la direction de l'Allemand Hartmut Haenchen.
bfa/apl

www.anaclase.com, 14.9.2007

« Au pupitre de la fosse rénovée du Palais Garnier, Hartmut Haenchen soigne la couleur et le lyrisme relativement contenu de l’Orchestre de l’Opéra national de Paris. Toujours minutieusement respectés, les équilibres passent presque inaperçus.
Bertrand Bolognesi

Figaro Scope, 5.9.2007

« Le chef Hartmut Haenchen est lui un spécialiste de la musique allemande. On le retrouvera en mars 2008, pour le noveau Parsifal de l’Opera.
Jaqueline Thuilleux
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