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26. Januar 2022 · Paris, Opéra national de Paris, 19:00 Uhr

Modest Mussorgsky: Chowantschina

Orchestre et Chœurs de l'Opéra national de Paris
Fürst Iwan Chowanski: Dimitry Ivashchenko
Fürst Andrey Chowanski, sein Sohn: Sergei Skorokhodov
Fürst Wassili Golitzyn: John Daszak
Schaklowity, Bojar: Evgeny Nikitin
Dossifej, Führer der Sektierer: Dmitry Belosselskiy
Marfa, Sektiererin: Anita Rachvelishvili
Susanna, eine alte Sektiererin: Carole Wilson
Schreiber: Gerhard Siegel
Emma, ein Mädchen aus dem "Deutschen Stadtviertel": Anush Hovhannisyan
Warssonofjewe, Vertrauter des Golitzyn: Wojtek Smilek
Kusjka, Strelitze: Vasily Efimov
Streschnew, ein junger Bojar: Tomasz Kumiega
Erster Strelitze: Gleb Peryazev
Zweiter Strelitze: Alexander Milev
Vertrauter des Golitzyn: Fernando Velasquez
Regie: Andreï Serban

Premiere

Pressestimmen

..."Le chef allemand Hartmut Haenchen semble d’abord un peu retenu, s’animant de mieux en mieux dès la deuxième partie, avec la volonté toujours de dessiner avec précision les différentes phases du drame, les différents registres sonores– et l’Orchestre de l’Opéra de Paris n’est pas avare de ferveur et de beautés multiples, les registres des bois et des cuivres par exemple délivrant des couleurs exaltantes. Mais si Hartmut Haenchen construit une architecture qui fait briller l’orchestre, il ne met jamais dans sa direction l’ardeur lyrique, le flamboiement qui innerve pourtant la partition....C’est l’honneur de l’Opéra de Paris de pouvoir offrir une telle œuvre, dans une telle représentation, portée par un tel ensemble de forces musicales réunies : c’est son évidente justification.
Alain Duault
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www.opera-online.com · 15. Februar 2022
..." la direzione del bravo Hartmut Haenchen... un abile concertatore e un maestro di quelli che si vorrebbe avere al posto di stelle mediatiche e che sa estrarre un bel suono dall’orchestra dell’Opéra...
Alla Bastille non c’era un posto libero e il successo alla fine è stato enorme.
Jorge Binaghi
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www.iteatridellest.com · 12. Februar 2022
.....Une soirée d’autant plus captivante que Hartmut Haenchen s’essaie à une relecture dans la fosse....
Depuis la fosse, tout ce beau linge est mené à contre-pied de la tradition de Mikhaïl Jurowski en 2013 par l’Allemand Hartmut Haenchen, qui dirige dans la lignée d’un Nagano, le trait fin, aminci, dans une esthétique du ventre creux mettant en lumière la modernité de l’écriture, les jeux de timbres répondant aux jeux de pouvoir du livret. Fascinante interprétation annonçant le XXe siècle et qui, pour essouffler parfois la dramaturgie, imprime aux rares saillies orchestrales un relief saisissant.
Yannick Millon
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www.altamusica.com · 12. Februar 2022
..."Un somptueux flot musical accompagne l’extinction des valeurs et des traditions auxquelles était attaché le compositeur russe, de douces et telluriques prières, de solennelles et majestueuses lamentations, sont largement mis en valeur par les chœurs très sollicités dans l’ouvrage, et par la belle direction d’orchestre de Hartmut Haenchen qui galvanise autant qu’elle étreint."
Christophe Candoni
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www.iogazette.fr · 10. Februar 2022
Gustavo Dudamel conducts a confusing Mozart while Hartmut Haenchen masters Mussorgsky
..."Hartmut Haenchen at Sunday’s La Khovantchina (Opéra Bastille) has done all his growing. Haenchen, one of the most consistently convincing conductors of his generation, brings scores to life with such absolute mastery that after four hours of bloodlust and intrigue, you wish you could start again from the beginning."
.."Haenchen has chosen Shostakovich’s completion of the score, and the orchestra plays it for him as if they had frozen and bled for Mother Russia....And we believe every note, not least because Haenchen shapes the details and carries the whole with a savvy sense of architecture."
Shirley Apthorp
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Financial Times · 02. Februar 2022
... "le chef allemand Hartmut Haenchen ... donne une leçon de maitrise, imprimant des lignes tout de souplesse, au service d’un legato aérien. Son attention aux nuances est un régal tout du long, ce qui permet de ne jamais couvrir le plateau."
Florent Coudeyrat
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www.classiquenews.com · 31. Januar 2022
---"Les chœurs architecturent l’ensemble avec de belles nuances, encouragés par la direction du chef allemand Hartmut Haenchen. D’un geste ample et calme, ce dernier fait ressortir avec beaucoup de tact les joyaux, la cohérence comme la profonde émotion qui habitent cette Khovantchina."
Bénédicte Palaux Simonnet
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www.crescendo-magazine.be · 31. Januar 2022
...“Le chef Hartmut Haenchen tient sa troupe avec efficacité...Un public aussi endurant qu’enthousiaste a salué... "
André Lischke
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Avant Scène OPÉRA · 30. Januar 2022
..."La direction d'Hartmut Haenchen est à la hauteur de l'enjeu d'ailleurs, et dès l'ouverture, on sent l'adéquation du chef à l'oeuvre monumentale qu'il dirige, orchestre, choeurs et solistes sont d'excellent niveau et chacun a un rôle fondamental à jouer pour faire vivre cette immense fresque sans temps mort. "..
Helene Adam
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https://passionoperaheleneadam.blogspot.com · 28. Januar 2022
... "par la direction intimiste d’Hartmut Haenchen"....
..La prestation se voit donc plus qu’honorable, tout comme celle de l’orchestre, lui aussi touché par les défections. D’une direction claire et lente, Hartmut Haenchen éloigne le chef-d’œuvre moussorgskien du pittoresque, mais construit un drame intimiste, tout en finesse et souvent marquant dans les grands moments. Les danses livrées d’un caractère chambriste sont particulièrement intéressantes, tandis que les derniers instants touchent par leur justesse."
Vincent Guillemin
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www.resmusica.com · 28. Januar 2022
..."Les bois lugubres, les cuivres implacables, les percussions qui donnent à la musique son caractère inéluctable, tout est rendu avec clarté sous la baguette constamment en éveil d’Hartmut Haenchen."
Christian Wasselin
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www.webtheatre.fr/ · 28. Januar 2022
...."Certes, la direction nette et délicate d'Hartmut Haenchen n'obtient pas la précision habituelle de cette fosse dans les arpèges et contre-chants. Les moments percussifs souffrent de grands décalages. L'Orchestre maison prend toutefois progressivement ses marques, s'appuyant sur la grande articulation des thèmes et un contraste qui répond à celui de l'œuvre et de la mise en scène : entre la grande douceur des prières et des marches martiales. ...
"L'ensemble de ces forces musicales et le chef seront fort applaudis aux saluts, davantage que presque tous les solistes"
Charles Arden
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www.olyrix.com · 27. Januar 2022
Pour la partie musicale de cette reprise, la fosse d’orchestre voit le retour d’Harmut Haenchen qui ne s’y était plus produit depuis la fin du mandat de Gerard Mortier à l’automne 2009.

Il doit malheureusement composer avec un effectif de musiciens et de choristes réduit à cause des circonstances connues de tous. Sa lecture est d’emblée solennelle avec des traits expressionnistes parfois bien sentis, des moments d’une grande finesse, comme lors du tableau très coloré des jeunes serves dans la demeure de Khovanski, ou bien des déploiements de luxe sonore merveilleux dans les scènes avec les Vieux Croyants. Néanmoins, il ne charge pas la musique de noirceurs inquiétantes et étouffantes à coups de cordes graves, comme pour suggérer des forces agissant dans l’ombre, et dépeint cette histoire avec mesure et soucis de transparence.
Rédigé par David
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https://fomalhaut.over-blog.org · 27. Januar 2022
..."Dans la fosse, Hartmut Haenchen joue la carte de l'homogénéité. L'orchestration de Chostakovitch privilégie la rondeur et l'équilibre, et le chef allemand va dans ce sens."
Alexandre Jamar
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www.forumopera.com · 27. Januar 2022
Avec la Khovantchina, l’opéra russe en grande forme à l’Opéra National de Paris
Une fête musicale
Car il faut dire que le public est à la fête avec l’exécution musicale et vocale de cette vaste et somptueuse partition.
En début de représentation, il nous fut annoncé que plusieurs membres de l’orchestre et du chœur avaient dû déclarer forfait en raison du Covid et il faut applaudir là, le travail irréprochable des chefs d’orchestre et de chœur qui, malgré ces contraintes du jour, réussirent à mener la gigantesque fresque, l’imposant vaisseau, à bon port.
À la tête de l’orchestre de l’Opéra National de Paris, Hartmut Haenchen ne choisit pas la grandiloquence ; il se fait le complice coloriste des tableaux qui nous sont présentés. Dans un flot enveloppant, il accompagne les chanteurs, les soutient, les entoure. C’est puissant sans être ostentatoire, c’est beau, prenant et d’une grande cohérence.
Paul Fourier
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https://toutelaculture.com · 27. Januar 2022
...“la musique imposante et majestueuse de Modeste Moussorgski et une direction d’orchestre confiée à la baguette de Hartmut Haenchen, ces 8 nouvelles représentations raisonnent déjà aux airs de triomphe.
Jean-Christophe Mary
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https://gonzomusic.fr · 27. Januar 2022
..."la direction d’orchestre remarquable de Hartmut Haenchen.""
Guy Courtheoux
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www.onsortoupas.fr · 25. Januar 2022