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18. März 2017 · Lyon, Opera, 18:00 Uhr

Richard Wagner: Tristan und Isolde

Choer et Orchestre de l'Opéra de Lyon
Tristan: Daniel Kirch; Isolde: Ann Petersen; Brangäne: Eve-Maud Hubeaux; Kurwenal: Alejandro Marco-Buhrmester; Marke: Christoph Fischesser; Junger Seemann/Hirt: Patrick Grahl

FESTIVAL MÉMOIRES Premiere

Pressestimmen

"...durchsichtig und gestenstark, mit fein dosiertem Espressivo. Entschieden antithielemannisch, total entbarenboimt. In klarer Linie iegt das vertraute Motiv zu Anfang aus dem Orchestergraben auf; jede Einzelstimme schwebt deutlich und schön herbei und fügt sich ins Klangbild. ..."
Eleonore Büning
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Opernwelt · 01. Mai 2017
"...Centraal bij deze uitvoering stond wederom het door Haenchen gedirigeerde orkest, ditmaal in de bak gezeten en wederom spelend met grote bezieling en een voorbeeldige klankverzorging. Hoewel de tempi eerder aan de langzame dan aan de snelle kant leken, verleende Haenchen de partituur een sterke dramatische stuwkracht die het drama de motoriek van het onafwendbare verleende.
Paul Korenhof
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www.opusklassiek.nl · 30. April 2017
"...Un double chef-d’œuvre qui a pris vie sous la
baguette d’un très fin connaisseur du romantisme allemand: Hartmut Haenchen. ..."
Fabrizio Migliorati
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http://teatro.persinsala.it · 21. April 2017
„...Réussite totale, et la leçon musicale s’en est portée d’autant mieux. Artisan majeur, Hartmut Haenchen, dont les battues objectives portent à l’incandescence, détails et masse, un orchestre superbe..
F.P.
Classica · 01. April 2017
"...Un gigantesque coup de poing'..","...Une intemporelle beauté...", "...excellence et fidèle reconstitution...", "...Brassées de lauriers pour Hartmut Haenchen..."
Einige Tweets
www.twitter.com · 31. März 2017
"...chef, orchestre et équipe artistique, nous offrent une "Elektra" de très haut lignage, comme nous n'en reverrons peut-être plus. ..."
"...D'abord parce que la volonté de placer l'énorme orchestre straussien sur scène (pour cause de fosse trop petite à sa création) constitue un régal sans égal alors que l'orchestre de l'Opéra de Lyon atteint des sommets sous la baguette de H. Haenchen - chef impavide de soixante quatorze ans enchaînant sans fatigue apparente les deux spectacles..."
Christine Ducq
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www.larevueduspectacle.fr · 30. März 2017
Surprenant Tristan et grande Isolde de Richard Wagner à l’Opéra de Lyon
"... dont on doit louer l’investissement impressionnant que nécessite ce Festival Mémoires, puisqu’il dirige aussi Elektra de Richard Strauss les autres soirs –, c’est bien à eux que le public a réservé ses plus chauds applaudissements...."
Emmanuel Deroeux
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www.olyrix.com · 29. März 2017
"...Dass das in beiden Fällen auch zu einem frischen, retrofreien Musikereignis von Rang wurde, ist in erster Linie Hartmut Haenchen zu verdanken. Und zwar nicht, weil der Dresdner mit dieser Elektra aus ihren Anfängen vertraut ist. Sondern weil er in den letzten Jahrzehnten zu einer Strauss- und vor allem Wagner-Koryphäe wurde, die lange im Ausland mehr galt, als im eigenen Lande. Er schaffte es natürlich, auch mitten in Frankreich mit dem heimischen französischen Orchester die Musik der beiden Richards lodern zu lassen, mit Präzision und Sängergenauigkeit zu bestechen und letztlich auch den Geist der Produktionen musikalisch gleichsam neu zu beschwören...."
Joachim Lange
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Der Standard · 28. März 2017
"...La direzione di Hartmut Haenchen, che era sul podio anche alla prima di Dresda del 1983, non è esasperata, non tende all'espressionismo - la data di composizione, 1908, lo giustificherebbe - ma è inesorabile, dura e aspra quanto la regia. L'orchestra della casa risponde ottimamente...."
Mauro Mariani
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il giornale della musica · 28. März 2017
„...Et Hartmut Haenchen méne l’orchestre de l’Opéra de Lyon á bon port, jusqu’à atteindre des paroxysmes magnifiques au dernier acte...“
Olivier Brunel
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Le Quotidien du médecin · 27. März 2017
"...Hartmut Haenchen dirige avec une flamboyante précision l’Orchestre de l’Opéra de Lyon qui puise au plus profond et au plus puissant de ses ressources...."
Emmanuelle Giuliani
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La Croix · 25. März 2017
"...con l’orchestra direttamente sul palcoscenico diretta da Hartmut Haenchen, si è rivelata ancora di rara intensità emotiva, spettacolo splendido. Poi una diversa storia di sacrificio e morte..."
Luca Pellegrini
Ganze Rezension als Hörfassung
http://it.radiovaticana.va · 25. März 2017
"...Hartmut Haenchen neemt het eerste bedrijf in 1 u 25, het tweede en derde bedrijf in 1 u 10. Toch klinkt dit slagveld van gevoelens nergens gejaagd."
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http://vlaamswagnergenootschap.blogspot.fr · 25. März 2017
"...Des lauriers par brassées pour la direction d'Hartmut Haenchen; au lendemain d'une Elektra d'anthologie, le chef allemand livre un Tristan de haute stature, aux effusions ardentes et passionnées, privilégiant tout du long une vision lyrique aux textures instrumentales finement ciselées. Le tempo se plie et évolue selon les variations d'une profonde respiration qui fait du mouvement un paramètre de l'émotion...."
David Verdier
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http://wanderersite.com · 25. März 2017
"...À la luxuriance, la tension dramatique, la couleur de Daniel Barenboim, succède le hiératisme de Hartmut Haenchen. Hiératisme parce que Haenchen comme pour son Elektra travaille la partition, sans y ajouter des intentions, mais laissant la musique dire ce qu’elle a à dire, en n’accélérant jamais le tempo, en veillant à une très grande clarté de la lecture, où l’on constate une fois de plus le travail approfondi mené avec l’Orchestre de l’Opéra de Lyon, qui sonne comme rarement on l’a entendu. Cette fois-ci dans la fosse, car contrairement à ce qu’on pense, point n’est besoin d’un orchestre géant pour Tristan, l’acoustique relativement sèche de la salle correspond trait pour trait à la direction musicale. Une direction qui ne laisse pas échapper une note ni un instrument, qui soigne le fil continu, sans exagérer jamais les aspects dramatiques, mais sans jamais rendre l’œuvre plate ou uniforme (si l’on peut rendre plat un Tristan). Par rapport à Parsifal, Haenchen a peu dirigé Tristan et d’une certaine manière son approche est encore neuve, elle est au moins autre, et sans doute pour mon goût plus convaincante que son Parsifal (aussi bien à Paris qu’à Bayreuth d’ailleurs), dès le premier accord, celui si fameux, les choses sont en place et on comprend que ce sera une grande chose. Peut-être le moment le plus réussi, celui qui est le plus lacérant aussi est le prélude du troisième acte, tout à fait extraordinaire. Une chose est sûre en tous cas, Hartmut Haenchen a réussi à mener l’orchestre de l’Opéra de Lyon à des sommets, aux cordes extraordinaires, avec un son très maîtrisé, sans scories aucunes, et une remarquable précision. Un orchestre cristallin, limpide, d’une clarté qui fait contraste avec l’univers indécis de la scène, cet univers où les personnages évoluent sans se regarder, marchent comme des automates (Tristan au premier acte), dans un espace vide où les formes font lumière, et d’où résonne d’un son franc, net, et d’où émergent les merveilles de la partition. C’est ce système de correspondance baudelairienne, où les couleurs et les sons se répondent chacun dans leur ordre, qui fascine, comme si l’un alimentait l’autre en une ténébreuse et profonde unité...."
"...Il reste qu’en dépit de quelques problèmes de distribution, tant le rendu de l’orchestre que la force de la production font de ce Tristan un très grand moment d’opéra avant que de nostalgie, et que l’opération, difficile est une réussite à porter au crédit de la magnifique idée de ce Festival."
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Le Monde · 25. März 2017
"...Hartmut Haenchen, der im Orchestre de l’Opéra de Lyon immer wieder wahre Klangfarbenexplosionen entfesselt, dirigiert zügig und dynamisch ausdifferenziert, dergestalt, dass jede Einzelstimme zu ihrem Recht kommt. Haenchen legt (wie er das immer tut) ein penibel aus dem Wagnerschen Aufführungsmaterial rekonstruiertes Originaltempo vor. Mit dem Stillstand der Zeit, wie ihn einst Daniel Barenboim zelebrierte, hat das nichts zu tun. Einen „Katastrophenliebhaber“ hatte sich Heiner Müller genannt. Ihm hätte dieses Übermalen und Ausradieren von Gewissheiten, das Verrutschen der Maßstäbe, diese fundamentale Ent-Täuschung wahrscheinlich gut gefallen...."
Eleonore Büning
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Frankfurter Allgemeine Zeitung · 24. März 2017
Hartmut Haenchen, un grand chef au service de Strauss et Wagner
„...Dans cette atmosphère d’abandon, il y a ce que les mots ne disent pas mais que la musique exprime et sa connaissance approfondie de l’œuvre permet à Hartmut Haenchen d’en révéler les plus subtiles nuances. ...“
Alain Boeuf
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L'Humanité · 24. März 2017
"...Der Dirigent Hartmut Haenchen, schon 1986 am Pult der "Elektra", verleiht dieser wie auch "Tristan und Isolde" mit raschen Tempi einen enorm dramatischem Atem. Dabei sorgt er mit einem trennscharfen Klangbild zugleich dafür, dass den Sängern immer wieder Raum für leise Farben bleibt...."
Michael Stallknecht
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Süddeutsche Zeitung · 23. März 2017
„...Le spectacle est ainsi conçu dans une longue montée dans l’horreur qu’ Hartmut Haenchen anil me avec une énergie dévorante qui a le bon goût d’y incruster les contrastes de moments plus doux quand une fausse tend ressue ou une sensualité latente vient colorer la noirceur d’un propos qui, très vite, récupère sa violence terrifiante. L’expresse ionisme prévisible na revient que dans la cataclysme final...Elle aussi a été possédée.“
S.M.
Le Soir · 23. März 2017
22. März 2017
„...Le deux opéras de légende défient le temps sous la direction incandescente du chef d’orchestre Hartmut Haenchen...“
Antonio Mafra
CNEWS Matin · 22. März 2017
"...Dass das in beiden Fällen auch zu einem frischen (retrofreien) musikalischen Ereignis von Rang wurde, ist in erster Linie Hartmut Haenchen zu verdanken. Und zwar nicht, weil der Dresdner mit dieser Elektra aus ihren Anfängen vertraut ist. Sondern weil er in den letzten Jahrzehnten zu einer Strauss- und vor allem Wagner-Koryphäe wurde, die lange im Ausland mehr galt, als im eigenen Lande. Er schaffte es natürlich auch mitten in Frankreich mit dem heimischen französischen Orchester die Musik der beiden deutschen Richards lodern zu lassen, mit Präzision und Sängergenauigkeit zu bestechen und letztlich auch den Geist der Produktionen musikalisch gleichsam neu zu beschwören...."
Joachim Lange
Ganze Rezension
Neue Musikzeitung · 22. März 2017
Elektra, Tristan et Isolde enflamment l’Opéra de Lyon
Les deux opéras de légende défient le temps sous la direction incandescente du chef d’orchestre Hartmut Haenchen
"...Bluffant!"
Antonio Mafra
Ganze Rezension
Le Progrès · 21. März 2017
"...Côté fosse, la direction musicale du grand chef allemand Hartmut Haenchen privilégie la chaleur et le lyrisme, sans perdre de vue l’intensité et le pouvoir dévastateur des paroxysmes orchestraux. La texture instrumentale ne sonne jamais trop épaisse, et les tableaux s’enchaînent sans cassure dans une progression d’une logique implacable, soutenue par un Orchestre de l’Opéra de Lyon à la hauteur de l’enjeu.
Emmanuel Andrieu
Ganze Rezension
www.opera-online.com · 21. März 2017
"...vom damaligen Dirigenten Hartmut Haenchen nun wiederum auch musikalisch mit enormen Spannungshöhepunkten aufgeladen. Zweifellos das Highlight der drei Retro-Opern dieses Festivalwochenendes in Lyon."
Robert Jungwirth
Ganze Rezension auch als Hörfassung
Bayerischer Rundfunk · 20. März 2017
Szenische Rekonstruktion – musikalische Neudeutung
"... Aufregendste Neuerung dieses bewegenden Wiedersehens mit einer Inszenierung, die Geschichte geschrieben hat, ist die Deutung durch Harmut Haenchen. Gilt im Szenischen hier gleichsam historische Aufführungspraxis, löst sich der Dresdner Kapellmeister deutlich von Daniel Barenboims Lesart. Haenchens Wagner ist schlank und kammermusikalisch, er hat ausgeprägte rhythmische Schärfung, was zumal Isoldens Sarkasmus und beißendem Humor im Anfangsakt sehr zu Gute kommt. Dieser Tristan kommt in flüssigen Tempi und aufregender Innenspannung daher. Das Wilde, das Kühne und Moderne der Partitur wird nie durch ein sentimentales Nachlauschen der Romantik getrübt. Zumal die französischen Holzbläser differenzieren die Farben aufregend neu. Nie verleitet Haenchen die lyrisch veranlagten Sänger der Titelpartien zum Forcieren. ..."
Peter Krause
Ganze Rezension
www.concerti.de · 20. März 2017
"... La direction de Hartmut Haenchen.. est un exemple de direction théâtrale, menant l’orchestre à bon port pendant toute la représentation, jusqu’à atteindre des paroxysmes magnifiques au dernier acte. L’Orchestre de l’Opéra de Lyon a une fois de plus montré sa suprématie dans ce répertoire...."
Olivier Brunel
Ganze Rezension
www.concertonet.com · 20. März 2017
À l’opéra, vive l’orchestre !
"...Lyon enfin avec «Tristan et Isolde». Quant il s’agit de Wagner, personne ne conteste plus le rôle de tout premier plan confié à l’orchestre. Comment ne pas se laisser submerger par ces flots d’une beauté si enivrante qu’elle vous ravit et vous oppresse? Dans la salle, les lumières s’éteignent et le silence s’installe. Las, les premières mesures du Prélude ne convainquent pas: la texture instrumentale sonne bien mince, bien sèche, la direction d’Harmut Haenchen manque de flamme, de ferveur. Va-t-il falloir subir un « Tristan » blême, fade ? Heureusement, avec le premier crescendo de la partition, avec la première dilatation qui ouvre à un monde inouï de fièvre amoureuse et musicale, l’orchestre et son chef brisent leurs chaînes. Pour s’en libérer radicalement, définitivement et magistralement jusqu’au point d’orgue final.
Emmanuelle Giuliani
Ganze Rezension
La Croix · 19. März 2017
"...Pero por suerte queda la música y ese maravilloso director que es Hartmut Haenchen, que el día anterior había entusiasmado con la Elektra, supo traducirla a la cabeza de una orquesta y de unos coros en gran forma...."
Teresa Llacuna
Ganze Rezension
www.operaactual.com · 18. März 2017
"...Hartmut Haenchen dirige avec une précision impeccable l’Orchestre de l’Opéra de Lyon, toujours dans une parfaite adéquation avec le mouvement même du texte. La réflexion que le chef a menée sur les tempi donne ici des résultats parfaitement convaincants. ... d’autres passages libèrent un lyrisme plus ample, notamment le début, magistral, du troisième acte, puis tout son déroulement, lequel donne à entendre la ductilité du temps jusqu’à sa résorption finale, son effacement progressif. Du grand art."
Fabrice Malkani
Ganze Rezension
www.forumopera.com · 18. März 2017
"Une direction exceptionnelle à ne manquer sous aucun prétexte ni Elektra ni Tristan"
"Elektra totalement bluffante Pankratova Haenchen fantastiques BERGHAUS encore 33 ans après: phénoménale. Stupéfiant ‪operadelyon
https://mobile.twitter.com/BlogWanderer · 17. März 2017
WDR · 26. Juli 2016
El principal artífice: Hartmut Haenchen al frente de la orquesta del Teatro Real, haciéndola sonar a las mil maravillas, recreándose en los momentos más líricos y rotunda pero sin estridencias en los más potentes. Una gozada. El coro, tan importante en esta ópera, estuvo también a una grandísima altura, sobre todo el masculino, demostrando que no hace falta gritar para cantar en forte.
Y finalmente el reparto también cumplió. Era teóricamente el segundo reparto, con la Elsa del primero. Y yo creo que salimos beneficiados en casi todos los roles.
Ea.
www.classissima.com · 23. April 2014