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28. August 2015 · Montreux, Auditorium Stravinski, 19:30 Uhr

Wolfgang Amadeus Mozart: Sinfonie Nr. 40 g-Moll, KV 550
Joseph Haydn: Konzert für Klavier und Orchester D-Dur, Hob. XVIII:11
Wolfgang Amadeus Mozart: Sinfonie Nr. 41 C-Dur, KV 551, Jupiter

Russisches Nationalorchester, Moskau
Mikhail Pletnev (Klavier)

Festival de Musique Classique Montreux-Vevey SEPTEMBRE MUSICAL
Live-Übertragung auf Radio Télévision Suisse - Espace 2

Pressestimmen

... Pour le Concerto brandebourgeois n° 3, Haenchen a écrit une subtile cadence solo pour le clavecin ... Le chef se veut pédagogue, guide véritablement l'orchestre, veille aux nuances, à l'articulation, à entretenir l'énergie quelque peu austère, mais motrice, de son propos. Ce que confirme la Suite n° 3 en ré majeur BWV 1068, carrure et polyphonie limpides, attaques nettes mais variées, nuances dynamiques au cordeau, Aria légère et admirablement dosée. ...
Rémy Louis
Ganze Rezension
Díapason Magazin · 02. September 2015
... On n'imaginait pas nécessairement l'Orchestre national de Russie dans les Symphonies Nos 40 et 41 de Mozart. On craignait même qu’il soit hors style, or Hartmut Haenchen a suffisamment de métier pour familiariser ces musiciens au style du XVIIIe siècle. Ce chef allemand a déjà démontré son oreille pour le classicisme dans Iphigénie en Tauride, de Gluck, qu’il dirigeait au Grand Théâtre de Genève au début de l’année.
Ses interprétations ne prétendent pas imiter les instruments d’époque. Elles privilégient un son généreux tout en creusant l’articulation. Hartmut Haenchen parvient à imprimer une ligne à la phrase mozartienne. Les bois ont de l’expressivité et les cordes revêtent un certain soyeux dans les épisodes lyriques. Parfois, le discours paraît trop appuyé («Menuet» de la 40e) ou un peu métrique (le finale de la 41e où les cordes atteignent leurs limites ). Mais le premier mouvement de la Symphonie «Jupiter» est plein de vitalité, tout comme le «Menuet». On aime ce classicisme noble et radieux, à mille lieues d’interprétations plus sèches.
Julian Sykes
Ganze Rezension
Le Temps · 31. August 2015