Les Echos (F), 22. Januar 2009
Pendant quatre actes et près de trois heures, Hartmut Haenchen fait sonner fièrement cuivres et bois de l'orchestre, conduit fermement le drame vers son paroxysme grâce à un discours serré, tendu, nerveux mais qui prend toujours le temps de respirer.
MICHEL PAROUTY