Opern

www.operatoday.com, 06. April 2009
Opera today, 6.4.2009

The Paris Opera orchestra rose to the challenge of Shostakovitch’s often knotty score with a reading of incomparable fire and melting delicacy as required. Rarely has this fine band been heard to such advantage in a house noted for its variable acoustic. I don’t know what more maestro Hartmut Haenchen can do to get to be the Critic’s Darling or the Queen’s Delight, but based on this evening’s thrilling result (and every other Haenchen performance I have heard) he is way higher up in my conductors’ pantheon than other more highly publicized baton wavers. The all-important chorus, well-prepared by Winfried Maczewski. made solid contributions all evening. Superb.
James Sohre
http://classik.forumactif.com, 30. Januar 2009
J'ai trouvé la musique très bien et extrêmement bien dirigée ! Haenchen m'avait impressionné et enthousismé dans sa direction parisienne de Parsifal et j'ai retrouvé le même niveau ici. Comme dir Morloch, la tension ne descend pas 1 sec, c'est soigné, limpide, et certains crescendo dans les interludes musicaux sont carrément furieux, mais toujours maitrisés. (juste après la mort du beau père par exemple).
Ovation générale pour Eva-Maria Westbroek et Haenchen.
C'était vraiment très bien.
Rheinischer Merkur, 29. Januar 2009
Hartmut Haenchen stellt die barbarische Pracht der Musik ebenso glänzend aus wie die Grimassen des Sentimentalen.
Höchste Wertung: 5 Sterne
www.dramaturgia.it, 28. Januar 2009
La riuscita della presente edizione molto deve all’ impeccabile direzione di Hartmund Haenchen (fresco insignito della croce al merito tedesca e sempre più presente anche nei nostri teatri: San Carlo, inaugurazione della stagione cagliaritana etc.). Sotto la sua nitidissima direzione la lucida separazione degli stili sottolinea la ricchezza della partitura senza enfatizzarla, dando piena libertà alla vita scenica, fedelissimo in questo al dettato di Shostakovic che non voleva prevaricazioni.
Sara Mamone
http://kourandartavignon.unblog.fr, 28. Januar 2009
La direction sans faille de Hartmut Haenchen porte cette œuvre exceptionnelle qu’il faut voir toutes affaires cessantes !
Angelique Lagarde
Trouw, 27. Januar 2009
Hollanders in Parijs
Gerard Mortier verlaat de Opéra Bastille. Op de valreep presenteert hij een nieuwe opera van een landgenoot, en laat hij Eva-Maria Westbroek en Hartmut Haenchen vlammen.

Wat deze productie echt anders maakt dan in Amsterdam is de muzikale leiding van Hartmut Haenchen. Net als Westbroek is de voormalig muzikaal leider van De Nederlandse Opera en het Nederlands Philharmonisch Orkest in Parijs een grootheid geworden. Met Wagners ’Parsifal’ en Strauss’ ’Capriccio’ maakte hij in de Bastille grote indruk. Ook hij wordt aan het slot met gejuich op het toneel ontvangen. De Franse pers heeft het over une grande soirée, waarin de twee Hollanders gloriëren.

Wel aardig dat sommigen Haenchen als Nederlander zien; niet helemaal ten onrechte overigens, want hij heeft per slot het Nederlands staatsburgerschap gekregen. Zijn interpretatie van Sjostakovitsj’ partituur kenmerkt zich door een uitgekiende opbouw. Hij stapt niet in de val van té veel, té vroeg en vijlt en schaaft aan al te scherpe randjes. Daar waar het echt moet vlammen, zet Haenchen met het orkest van de Opéra de sluizen volledig open. Al met al is zijn visie misschien iets minder scherp en spectaculair dan die van Jansons, maar Haenchen spreekt met overtuiging zijn eigen waarheid.
Peter van der Lint
www.forumopera.com, 27. Januar 2009
Last but not least, Hartmut Haenchen, dans la fosse, élève l’Orchestre de l’Opéra au plus haut niveau. A priori somptueuse et sans à-coup, l’apparente sérénité de son interprétation révèle rapidement sa face cachée : elle n’est rien d’autre que le calme précédant la tempête. La musique avance comme un fatum, c’est-à-dire sans hâte, sans précipitation, sans fracas inutiles. A quoi bon, puisqu’elle finira quand même par gagner et par tout broyer sur son passage, inéluctablement. L’œuvre entière devient comme la marche militaire, terrible, qui annonce l’irruption des policiers au mariage du III : un étau qui, fatalement, se resserre. Tout cela méritait bien, à l’applaudimètre, une ovation (presque) égale à celle reçue par Eva-Maria Westbroek !

Le triomphe, sans une ombre au tableau, de cette production néerlandaise, signe peut-être, symboliquement, l’attachement du public de l’Opéra de Paris à Lady Macbeth de Mzensk : après le spectacle d’André Engel, et ses choux légendaires (dont certains ornes, dit-on, quelques bureaux de l’Opéra), le prochain directeur de la Grande Boutique adoptera-t-il les sympathiques bergers allemands de Martin Kusej, pour veiller comme il se doit sur des représentations déjà anthologiques ?
Clément Taillia
http://ballettalk.invisionzone.com, 26. Januar 2009
The orchestra played brilliantly for conductor Hartmut Haenchen, with a group of brass (trumpets, horns, and tubas) at the sides of the stage, and the chorus produced a wall of sound, just glorious.
El Mondo (Es), 26. Januar 2009
Las 'pruebas' de semejante proeza se encuentran en el DVD que Opus Arte filmó en la sede de la Nederlandse Oper de Amsterdam. Se trata de la misma producción de Kusej y dirige la orquesta el gigante Mariss Jansons, aunque el profundo trabajo de Hartmut Haenchen en el foso de La Bastilla forma parte de los hitos de la década y desmiente las opiniones de Stalin a propósito de la pornografía, y de la abyección, y del arte mismo.
Diapason, 25. Januar 2009
Et direction d’Hartmut Haenchen amoureuse du chant, portant l’Orchestre de l’Opéra à un degré de fusion peu commun. Peut-être y a-t-il un certain hiatus entre ce geste souvent étale et lascif, peu expressionniste, et les upercuts dramatiques assénés à chaque instant par Kusej. Mais l’immense flot sonore soulevé par la fosse, telle une coulée de lave, avance, irrésistible, avec le poids et la puissance têtue d’une destinée tragique. Triomphe général, comme Bastille n’en avait pas connu depuis longtemps.
Emmanuel Dupuy
http://claude101141.blogspace.fr, 24. Januar 2009
Les superlatifs ne sont pas de trop pour qualifier l'interprétation par tous les artistes de cette production de prés de trois heures.L'orchestre et les choeurs de l'opéra de Paris font la démonstration une fois de plus que lorsqu'on travaille sérieusement et que l'on se donne à plein, on fait merveille. La direction d'orchestre assurée par Hartmund Haenchen directeur musical de l'opéra hollandais est absolument magistrale et mérite tous les éloges.<
http://jncuenod.blog.tdg.ch, 24. Januar 2009
http://jncuenod.blog.tdg.ch, 24. Januar. 2009
Tribune de Geneve

Actuellement, cette œuvre élevée au rang de mythe est jouée à l’Opéra-Bastille, l’Allemand Harmut Haenchen conduisant magnifiquement l’Orchestre de l’Opéra national de Paris. Quant aux chanteurs, à part une Sonietka (incarnée par la soprano Lani Poulson) peu convaincante par son manque de souffle, ils approchent la perfection dans cette diabolique partition. La performance de la soprano néerlandaise Eva-Maria Westbroek qui reste sur scène pendant près de trois heures est impressionnante.
Jean-Noël Cuénod
Le Figaro Magazin (F), 23. Januar 2009
Enfin une production digne de l'Opéra de Paris... même si ce Lady Macbeth de Mzensk, de Chostakovitch. Voici un beau et grand spectacle, parfois osé, qui utilise toutes les possibilités de cette comédie de mœurs doublée d'une intrigue policière. La distribution y est remarquable - en particulier l' interprétation de la soprano hollandaise Eva-Maria Westbroek. L'orchestre, lui, est magistralement conduit par Hartmut Haenchen. Bref, un sans-faute, et la preuve qu'on peut, à l'Opéra de Paris, présenter des œuvres moins connues et faire l'unanimité.
François Delétraz
www.concertclassic.com, 22. Januar 2009
A son meilleur, l’Orchestre de l’Opéra donne à entendre la langue moderniste que Chostakovitch parlait encore dans les années trente, galvanisé par la battue après d’ Hartmut Haenchen qui a eu la bonne idée de mettre les cuivre en évidence sur les cotés du proscenium. Personne ne devra ignorer qu’à la Bastille se donne un chef d’ouvre de l’opéra du XXe siècle dans une réalisation qui lui rend totalement justice.
Jean-Charles Hoffelé
Radio France, 22. Januar 2009
Radio France, 22. Januar. 2009

"Lady Macbeth" enflamme 'Opéra Bastille

La production, mise en scène par l'Autrichien Martin Kusej et dirigée au pupitre par l'Allemand Hartmut Haenchen, a reçu un accueil triomphal au soir de la première.
Annie Yanbekian
Les Echos (F), 22. Januar 2009
Pendant quatre actes et près de trois heures, Hartmut Haenchen fait sonner fièrement cuivres et bois de l'orchestre, conduit fermement le drame vers son paroxysme grâce à un discours serré, tendu, nerveux mais qui prend toujours le temps de respirer.
MICHEL PAROUTY
Le Canard (F), 21. Januar 2009
L’orchestre est somptueux sous la baguette du maestro Hartmut Haenchen.
Luc Décygnes
Le Monde (F), 21. Januar 2009
Le public de l'Opéra Bastille a unanimement salué l'excellente Lady Macbeth de Mzensk de Dimitri Chostakovitch
Le chef d'orchestre allemand, Hartmut Haenchen, en a déployé les fastes cuivrés. Mais il en a par trop gommé les aspérités, anticipant en quelque sorte l'esprit de la seconde mouture poststalinienne de 1963, lorsque après vingt-cinq ans d'interdiction soviétique, Chostakovitch avait fait renaître sa Lady Macbeth assagie sous le nom d'Ekatarina Ismaïlova.
Marie-Aude Roux
www.webthea.com, 20. Januar 2009
Hartmut Haenchen en parfaite osmose avec l’orchestre

La succès de ce spectacle coup de poing ne serait pas ce qu’il est si Chostakovitch n’y était servi dans toute sa violence et dans toute la richesse de sa palette où se rencontrent les grands courants musicaux du début du vingtième siècle. Le chef allemand Hartmut Haenchen en fait resplendir toutes les couleurs, tantôt en les polissant de nostalgie, tantôt en faisant exploser leur impitoyable violence charnelle. Au plus près de ce Chostakovitch de 26 ans, en parfaite osmose avec les toujours excellents musiciens de l’orchestre et les magnifiques chœurs de l’Opéra National de Paris.
Une descente en enfer dont on sort remué et songeur.

Caroline Alexander
www.concertonet.com, 20. Januar 2009
.....Les autres rôles sont bien tenus, le chœur en forme, contribuant à faire du spectacle l’un des plus forts de la saison, d’autant plus que la direction de Hartmut Haenchen s’avère en tout point remarquable.

Il prend un parti différent de Mariss Jansons, qui s’inscrivait davantage dans la filiation de l’expressionnisme mahlérien... Le chef allemand, à la tête d’un orchestre tout aussi éblouissant, allège les textures, dégage les lignes et vise avant tout la clarté, dans une sorte d’implacable distanciation, jugeant sans doute superflu toute surenchère – un peu en décalage, ici, avec la mise en scène. Il n’élude pas pour autant la dimension grinçante de la partition, voire son côté bastringue grotesque – autant de raisons, pour Staline, de la faire retirer de l’affiche –, mais sans jamais tomber dans l’orgie sonore. Les fameux glissandos impudiques des trombones ne perdent rien de leur force suggestive et l’on est bien, du début à la fin, au théâtre, un théâtre dont la polyphonie met le tragique à nu.
Didier van Moere
Libération (F), 19. Januar 2009
Sous la baguette précise de Hartmut Haenchen, l’orchestre de Bastille sonne magnifiquement.
Èric Dahan
Le Figaro (F), 19. Januar 2009
Le metteur en scène Martin Kusej et le chef Hartmut Haenchen ont trouvé l'équilibre exact qui signe immédiatement la production mémorable.

....Il n'épargne ni les personnages ni le spectateur : un grand moment de théâtre.

Le théâtre, il est aussi dans la direction admirable de Hartmut Haenchen : là où il serait faciled'ouvrir les vannes et de se laisser submerger par les effets, il garde le contrôle, avec une puissance concentrée, tranchante, impitoyable. Les musiciens de l'Orchestre de l'Opéra jouent cette véritable symphonie avec voix comme des dieux : la mélancolie des bassons et clarinettes, les déchaînements toujours maîtrisés des cuivres et des percussions, la clarté des cordes, le public ne s'y est pas trompé en les ovationnant comme rarement
...une grande soirée.
Christian Merlin
http://blog.lefigaro.fr, 18. Januar 2009
...notamment dans l'exceptionnelle direction musicale de Hartmut Haenchen, Orchestre et choeurs de l'Opéra de Paris
Armelle Héliot
AFP (F), 18. Januar 2009
AFP
La "Lady Macbeth" de Martin Kusej prend l'Opéra Bastille aux tripes
PARIS, 18 jan 2009 (AFP)

Le metteur en scène autrichien Martin Kusej a fait des débuts triomphaux samedi soir à l'Opéra de Paris, prenant le public aux tripes avec la "Lady Macbeth de Mzensk" de Chostakovitch, en phase avec l'âpreté et la crudité de l'oeuvre.

Chose rare à l'Opéra Bastille, les spectateurs de la première ont unanimement salué une production il est vrai d'un niveau exceptionnel, jusque dans sa direction musicale, assurée par le Néerlandais Hartmut Haenchen, et sa distribution, dominée par sa compatriote Eva-Maria Westbroek.
........
Longtemps pilier de l'Opéra d'Amsterdam, invité chaque année à Paris depuis 2006, Hartmut Haenchen confirme la qualité de son travail dans cette "tragédie-satire" à laquelle l'orchestre parisien, à commencer par ses cuivres, confère les couleurs requises.
http://fomalhaut.over-blog.org, 18. Januar 2009
Hartmut Haenchen et l’orchestre de l’Opéra National de Paris réalisent une performance incroyable, à un moment une masse s’élève de la fosse, à d’autres les nappes sonores se diluent dans une ambiance d’angoisse latente, d’un seul coup une valse surgit, et l’ironie entraînante se superpose aux scènes les plus glauques.
http://palpatine42.free.fr, 18. Januar 2009
La mise en scène est d'ailleurs assez bien pensée de ce côté, et notre chef l'immense Hartmut Haenchen que l'on avait adoré un an auparavant dans "Capriccio" puis "Parsifal" s'est débrouillé... comme un chef ; on remarque encore une fois que l'acoustique dans les couloirs est rudement bonne !
L’Avant Scéne Opéra, 18. Januar 2009
Plus qu’attentif à son plateau et à ses troupes, vivant avec eux chaque note, Hartmut Haenchen a fait crier l’orchestre autant qu’il l’a fait chanter, passant du rut au silence en d’ineffables transitions. Avec Eva-Maria Westbroek, qui nous laisse à la fin sidérés par sa détresse creuse, avec Kusej qui construit de bout en bout un univers radical et riche de toutes les facettes de la musique – y compris l’humour_, Haenchen conduit les neuf tableaux de l’opéra dans une trajectoire tendue et implacable.
Chanal Cazaux
www.opera-giocoso.net, 17. Januar 2009
Et puis Haenchen dirige de main de maître la partition, plein d'attention aux chanteurs, sachant alterner entre les passages doux et caressants pour ensuite faire exploser l'orchestre dans un tourbillon magistrale! Et l'orchestre suit le chef comme lors de ses précédentes direction à Paris pour Salomé ou Parsifal.
de Volkskrant, 29. Januar 1995
Lady Macbeth in Urfassung meisterhaft

Wenn der in Topform dirigierende Hartmut Haenchen die Niederländische Philharmonie zu den reinsten, zurückgenommenen und verführerischen Klängen inspiriert bekommt die Vorstellung ein Niveau, was anderswo nicht anzutreffen ist.
Opera, 01. Dezember 1994
The impact of the performance owed much to the splendid singing of the Netherlands Opera Chorus and Hartmut Haenchen´s ability to draw vibrant lines and sardonic rhytms from the Netherlands Philharmonic.
Orpheus, 01. Dezember 1994
Mit der Übernahme der ENO-Produktion von Schostakowitschs Lady Macbeth von Mzensk bewies die Niederländische Oper eine ausgesprochene glückliche Hand.

Ich kenne wenig Orchesterparts, die neben der Begleitung der Sänger eine eigenständige Funktion beinhalten. Die Musik war bei Hartmut Haenchen und dem Niederländischen Philharmonischen Orchester in allerbesten Händen.
Das Opernglas, 01. Dezember 1994
(...) und in diesem Schluß (...) hat Schostakowitsch seine ergreifendste Musik geschrieben, die den Zuhörer erschüttert zurückläßt. Hier erreicht auch der Dirigent Hartmut Haenchen noch einmal einen weiteren Höhepunkt einer einzigartigen Interpretation, für die das Nederlands Philharmonisch Orkest als Konzertorchester prädestiniert erscheint. Die immer wieder aufblühende slawische Melodik erhält den gebührenden Stellenwert, aber bekanntlich war Schostakowitsch auch ein Bewunderer der Symphonien von Mahler, und diese spätromatisch geprägte Orchestersprache zwischen Emphase und Drastik mit verdrehten Walzerrhythmen und schneidenden Blechfanfaren wird von Haenchen modellhaft herausgearbeitet.
Opernwelt, 01. Oktober 1994
Hartmut Haenchen im Orchestergraben hält die grimmige Musik dazu straff zusammen. Er hat seine Instrumentalisten auf den bizarren, teils hochdramatischen, teils scharf sarkastischen Zungenschlag dieser Partitur eingeschworen und arbeitet Schostakowitschs " symphonische Entwicklung von der ersten bis zur letzten Note" stringent heraus. Was die "Prawda" als "Pronophonie" diffamierte, erweist sich unter seiner Stabführung oft als grelles, aber ebenso oft fein solistisch ausgehörtes, eklektizistisch Walzer, Polka und Blaskapelle vermischendenes Klanggebilde voll lautmalerischer Eskapaden.
Het Parool, 07. September 1994
Das sehr beflügelte Spiel der Niederländischen Philharmonie unter Leitung von Hartmut Haenchen (...)
Brabants Dagblad, 05. September 1994
Musikalisch steht die Produktion bombensicher. Hartmut Haenchen hat die Niederländische Philharmonie alle ins und outs von Schostakowitschs bestürtzt machender Partitur bis in den Kern ausloten lassen. Der beißende Sarkasmus, die melancholischen und lyrischen Episoden dieser frabigen, rhythmisch unglaublich schwierigen Musik werden hervorragend in Klang umgesetzt.
De Telegraaf, 05. September 1994
Haenchen ist weniger auf der Suche nach grotesken Effekten als nach dem menschlichen Maß des Dramas. Das hat er gefunden, manchmal mit brennender Leidenschaft, die unvermutet auftaucht in der trostlosen Umgebung.
Algemeen Dagblad, 05. September 1994
Die Niederländische Philharmonie unter Leitung von Hartmut Haenchen spielte intensiv und nuanciert mit besonderem Augenmerk für die besonderen Farben von Schostakowitschs brillanter und eigensinniger Orchestrierung.
Trouw, 05. September 1994
Meisterhafter Schostakowitsch Perfektes Zusammenspiel zwischen Musik und Bild

Eine meisterhafte Eröffnung der Saison, in erster Linie wegen der absolut überzeugenden Ausarbeitung der Partitur unter Leitung von Chefdirigent Hartmut Haenchen. Er war fantastisch in Form um diese fünfundzwanzigste Premiere von ihm im Muziektheater mit seiner Niederländischen Philharmonie zu einer gloriosen Schöpfung auszubauen.
NRC Handelsblad, 05. September 1994
Mit einer vom Publikum enthusiastisch aufgenommenen Lady Macbeth von Schostakowitsch eröffnete die Niederländische Oper die neue Saison.

Hartmut Haenchen, der seine 25. Premiere im Muziektheater dirigiert, gibt mit der Niederländischen Philharmonie auf eindrucksvolle Weise der Musik Gestalt, die doch kein Chaos ist, sondern ein bunter Katalog verschiedener Stile, überraschenden Instrumentierungen und Extremen der Dynamik. Das enorme Spektakel war da, wo es sein muß. Aber meistens klang sie in gut im Zaum gehaltener intensiver dramatischer Spannung.
Rotterdams Dagblad, 05. September 1994
Auch musikalisch kann diese Produktion ins Erfolgsbuch der Niederländischen Oper geschrieben werden.
Haagsche Courant, 05. September 1994
Hartmut Haenchen ließ die Niederländische Philharmonie blitzend und außergewöhnlich spannend musizieren. Wichtig war, daß vor allem die in den Holzbläsern brillante, oft schrill-parodistische Instrumentation des jungen Schostakowitsch zu seinem Recht kam.
Westdeutsche Zeitung, 05. September 1994
Weltelite vereint

Standing Ovations bei der Premiere für die Niederländische Philharmonie unter dem virtuosen Chefdirigenten Hartmut Haenchen (...)