Sinfoniekonzerte

www.classiquenews.com, 29. Februar 2016
... Hartmut Haenchen a su insuffler à chacun une belle énergie constamment renouvelée pour cette journée dans les sommets alpins. Musique à programme par excellence chaque didascalie en est savoureuse. Les instrumentistes ont tous brillé, absolument tous. A bras le corps Hartmut Haenchen a mobilisé les énergies. La marche a été héroïque, émue, panthéiste ou grandiose. Toutes les émotions face à la nature ont été magnifiées par cette interprétation de haute lignée. Le rapport respectueux et admiratif de l’homme face à la nature est ce qu’il a de plus grand. Après les horreurs de la guerre, rien ne pouvait mieux nous rendre l’espoir. Harmut Haenchen a su organiser cette partition flamboyante avec une précision incroyable. Le tonnerre et le vent, les cloches de vaches, les cuivres tonitruants comme le quatuor le plus délicat ; il a su mettre en valeur chaque moment. La salle de la Halle-aux-Grains a montré ce soir ses limites dans la manière dont les crescendi ont été saturés. Voici un concert qui aurait autrement mieux sonné dans une salle à la meilleure acoustique !

Ce grand chef qui pour la première fois sortait de la fosse à Toulouse a été plébiscité par le public. Nous savions par sa direction admirable de Tannhauser, Daphné et Elektra quel chef lyrique il était. A présent nous savons quel grand chef symphonique est Hartmut Haenchen. Espérons qu’il reviendra bientôt a Toulouse.
Hubert Stoecklin

Ganze Rezension
www.classictoulouse.com, 20. Februar 2016
Ausgezeichnet mit dem Coup de Chœur
... L’Orchestre national du Capitole, porté à son point de fusion par Hartmut Haenchen réalise ce soir-là une véritable performance. Alternant les épisodes d’attente (Nacht, Nuit), d’extase (comme pour l’arrivée au sommet) ou de déchaînement des éléments (Gewitter und Sturm, Orage et tempête), l’exécution, méticuleusement planifiée par le chef, s’épanouit dans chacun des épisodes contrastés. ...
L’évidente satisfaction du chef comme celle des musiciens traduisent l’entente et la solidité des liens qui se sont tissés entre l’orchestre et Hartmut Haenchen. Gageons que l’on reverra ce grand chef à la tête de notre orchestre.
Serge Chauzy

Ganze Rezension
www.utmisol.fr, 19. Februar 2016
La Symphonie alpestre de Richard Strauss... dont le lyrisme grandiose a tôt fait de virer vers l’emphase, est souvent un piège fatal pour tout orchestre et chef seulement attentifs à ses aspects extérieurs. Hartmut Haenchen,... , préfère privilégier la quintessence du style straussien alliant luminosité et lisibilité, maîtrisant ainsi parfaitement les déchainements telluriques de notre Orchestre National du Capitole de Toulouse. Cette montée vers ces cîmes métaphoriques se fait ici sans violence expressive excessive, mais, au contraire, avec une graduation impressioniste quasi picturale.

Jean-Félix Marquette
Ganze Rezension
Wagner after all, 01. April 2000
Eine sehr einnehmende, wollüstige, und jedoch intime Aufführung dieser Bergbesteigung! Süchtig machend!

Johan Maarsingh
Luister, 01. Dezember 1999
Nein, was für ein prächtige Alpensinfonie liefert die Niederländische Philharmonie unter Leitung von Hartmut Haenchen! Gleich beim ersten Einsatz ist die Atmosphäre perfekt getroffen: selten habe ich die dunkle Fanfare am Anfang so schön spielen hören. Und während der ganzen Aufführung gibt Haenchen jedem Detail das nötige Gewicht. Das Tempo des Eintritt in den Wald ist langsamer als man gewöhnt ist, aber dadurch evoziert Haenchen die herrliche Atmosphäre des Spazierganges, die jeder der jemals in dem Bergen gewandert ist sofort erkennen wird. Auf dem Gipfel und Ausklang sind beide wunderbar breit genommen. Haenchen kombiniert in dieser Aufnahme die Feinheiten von Haitink und die epische Ausstrahlung von von Karajan. Also eine ideale Alpensinfonie!
Het Parool, 25. Januar 1999
Trotz des straffen Tempos hielt Haenchen sein ausgezeichnet spielendes Orchester gut im Zaum. Sonnenaufgang, Wasserfall, Anstieg, Gletscher, Sturm und Anbruch der Dunkelheit schienen so hell, strahlend, bedrohlich, überrumpelnd und verräterisch wie sie nur auf den Alpengipfeln sein können. Kein Poltern, sondern ein durchsichtiger Blick auf den brillanten und erneuernden Instrumentator.

P. Jansen
de Volkskrant, 25. Januar 1999
NedPhO blitzt mit Kühen und Ziegen

Das Gute von Haenchens Interpretation ist, daß er den anekdotischen Aspekt und den Edelkitsch der Alpensinfonie, ja sogar die Banalität mancher Noten, dem Eindruck von Farbigkeit und Textur- der prima materia von Strauss Musik - unterzuordnen versteht.

Die Art und Weise, wie Haenchen das Amalgam der musikalischen Bergziegen, die glitzernden Eispiegel-Arpeggios und die in erhebenden Choralklängen gefangenen Aussichten unter einen steigenden Spannungsbogen brachte, war atemberaubend. Die Niederländische Philharmonie folgte ihm in diesem Abenteuer ohne den geringsten Ausrutscher.

Frits van der Waa
NRC Handelsblad, 25. Januar 1999
Mit relativ schnellen Tempi legte Haenchen den Nachdruck auf Strauss' brillante orchestrale Linienführung und die bildende Kraft der diatonischen Melodik. So nahm er dem Werk die geschwollene Zügellosigkeit.

M. Spel